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"Encore est un temple" | Lecture performée & exposition
Publié le 28 septembre 2021 – Mis à jour le 28 septembre 2021
Une expérience poétique, plastique, musicale à la croisée des sensibilités, autour de l’enfance, des rêves et de la mort de Benny Gazzara...
Une performance par
Kenny OZIER-LAFONTAINE, poète
CHARKO, musicien
Catherine URSIN, plasticienne, poétesse, en résidence d'artiste à Lyon 3
En partenariat avec l’Espace Pandora dans le cadre du festival Parole Ambulante
Kenny OZIER-LAFONTAINE, poète
CHARKO, musicien
Catherine URSIN, plasticienne, poétesse, en résidence d'artiste à Lyon 3
En partenariat avec l’Espace Pandora dans le cadre du festival Parole Ambulante
? L’enfance, la mort et le rêve sont notre point de départ.
Trois mots pour trois protagonistes.
Trois artistes pour trois moyens d’expressions,
la poésie,
la musique
et la peinture.
Nous voulons confronter nos trois techniques et chercher l’endroit
où elles se rejoignent et se complètent,
intégrant regards et écoutes de l’autre.
Mais aussi trouver les limites, chercher le point de rupture qui
empêche, annule ou distord l’expression de l’autre.
Aller retour entre respect et irrévérence, silence et cri,
immobilité et mouvement, complicité et désaccord.
Aller jusqu’au bout de nos propres limites,
de nos épuisements et de nos différences.
Pour cette performance,
nous puiserons dans nos enfances,
convoquerons nos morts
mais n’oublierons jamais nos rêves.
Encore
et encore... ?
Trois mots pour trois protagonistes.
Trois artistes pour trois moyens d’expressions,
la poésie,
la musique
et la peinture.
Nous voulons confronter nos trois techniques et chercher l’endroit
où elles se rejoignent et se complètent,
intégrant regards et écoutes de l’autre.
Mais aussi trouver les limites, chercher le point de rupture qui
empêche, annule ou distord l’expression de l’autre.
Aller retour entre respect et irrévérence, silence et cri,
immobilité et mouvement, complicité et désaccord.
Aller jusqu’au bout de nos propres limites,
de nos épuisements et de nos différences.
Pour cette performance,
nous puiserons dans nos enfances,
convoquerons nos morts
mais n’oublierons jamais nos rêves.
Encore
et encore... ?